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26 juin 2015

POISSON ou POISON ?

Question au combien importante pour nous autres mais aussi pour les poissons eux-mêmes.

A-t-on pensé une seconde au mal que l'on fait à une famille de poisson lorsqu'on prélève le père, la mère, ou la fils de la famille par un filet de pêcheur en plein milieu de l'Atlantique ?

Regardez NEMO et vous comprendrez ! Bon là je rigole un peu.

 

L'élevage de poisson est encore pire. En 2013 en France un tiers des produits de la mer consommés provenaient de l'élevage.

Source 'L'express' du 17/03/2010 : « L'industrie de la pisciculture est loin d'être une panacée, elle ne crée pas de ressources nouvelles et, au contraire, amplifie la crise", estime Daniel Pauly, ancien directeur du centre des pêches de l'université de Colombie-Britannique et initiateur du Seafood Summit. La majorité des élevages, en effet, est constituée par des espèces carnivores (saumon, bar, truite...) nourries avec des farines et des huiles de... poissons sauvages. Leur rentabilité énergétique semble une aberration. Il faut ainsi de 4 à 6 kilos de sardines ou d'anchois pour produire 1 kilo de saumon d'élevage. »
Notons que le problème de l'élevage animal pose quasiment les mêmes problèmes.

 

Et du point de vue de la santé, les poissons d'élevage, à cause de la concentration de poissons dans un espace restreint, obligent les exploitants à abuser des antibiotiques, antifongicides et pesticides pour éviter la propagation des maladies.

 

Et les arêtes, on ne parle jamais de ces trucs qui se retrouvent dans notre bouche et qui nous font galérer au point de regretter les poissons panés du Captain.

Monsanto, au lieu de nous faire des tomates sans goût mais qui se gardent 1 mois, devrait plutôt nous enlevez par leurs recherches ces épines du pied.

Un poisson frais sans arrête ce serait quand même le rêve.

 

Question apports nutritionnels, une bonne poêlée de divers légumes frais avec un peu d'huile d'olive est tout aussi intéressant qu'un poisson.

Et au moins nous ne sommes pas obligés de la tuer pour manger le fruit de sa production, car les fruits et légumes finissent selon les règles de la nature par tomber au sol ou à pourrir. C'est même souvent les soulager d'un poids pour éviter de plier (au sens propre) que de faire la récolte.

Autre argument, la taille d'un arbre ou d'une plante ne peut être considérée comme un acte de mutilation volontaire (réprimé par la loi à part si tu es chirurgien), puisqu'il permet au contraire de redonner de la vigueur à ceux-ci.

Bon là je dévie. Revenons à nos poissons.

 

En temps de sur-pêche comme depuis des dizaines d'années laissons ces braves animaux marins tranquille, mais ils n'ont pas construit de lobby, ni d'association, ni signé des pétitions.

Si on ne veut pas que les requins se vengent sur nous parce qu'on leur pique leur garde-manger il va falloir changer.

 D'après consoglobe,com, Il existe environ 25.000 espèces de poissons mais la consommation se concentre sur une vingtaine d’espèces et en même temps 29 % des 600 espèces pêchées dans le monde sont en voie d’extinction totale.
Au rythme actuel de la surpêche, les océans seront quasiment vides d’ici à 2050 : certains scientifiques prévoient une pénurie de poisson pour 2050. Certes on est en droit de se demander s'ils ne sont pas alarmistes, mais leur voix est à entendre.

  

Pour savoir quels poissons consommer et lesquels il ne faut pas : http://www.consoglobe.com/quelles-especes-de-poisson-acheter-cg

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